Catégories : Diaper couple, plusieurs, lesbiennes Diaper boy / Little boy Hommes fessés
il y a 7 ans
Au début, ma femme n'aimait pas me fesser : elle trouvait cela "bête". Puis, par la f o r c e des choses, et enfin par goût, elle me donna souvent la "punition des gamins".
J'ai dit "par la f o r c e des choses", car j'avais pris l'habitude d'être désagréable, retors, provocateur. Alors, elle me traitait comme un gamin, m'ignorait, me snobait. Puis, comme cela ne marchait pas, un jour où j'avais dépassé les bornes, elle me dit:
"Ecoute, Michel, si tu veux une fessée, je veux bien te la donner, mais ce ne sera pas un jeu amoureux, je te préviens."
Ce jour-là, je reçus, enfin, la fessée dont j'avais toujours rêvé. Mes mains furent attachées, car elle savait ne pas pouvoir maîtriser ma f o r c e. Je reçus le martinet durant de longs moments, fus mis au coin, puis fessé à nouveau. Je me retrouvais finalement au lit, un plug bien enfoncé là où vous savez, le cul brûlant, heureux!
Le lendemain, je jouai le rôle du mari idéal: petit déjeuner au lit, caresses amoureuses bien placées, bref, je lui fis sentir que je lui étais reconnaissant du plaisir qu'elle m'avait procuré. Alors, peu à peu, elle prit l'habitude de me fesser régulièrement. Tous les objets étaient bons pour me meurtrir les fesses : Baguettes, martinet, ceinture, etc... J'adorais jouer le rôle du petit garçon "pas sage" qui fait des bêtises et que sa maman punit. Dans les séances de fessées, je retrouvais une situation e n f a n t i n e de dominé.
Bref, c'était la joie dans la punition.
Et puis voilà qu'elle a contracté une maladie au poignet qui a nécessité plusieurs interventions chirurgicales. Plus question de "panpan-cucul". Dame, le poignet, c'est fragile et irremplaçable.
Je devins de plus en plus irritable: j'étais comme un d r o g u é en manque. J'en étais arrivé à envisager d'aller voir "ces dames" spécialisées dans ce genre de prestation.
Et puis, un jour, elle eut l'idée du siècle. Nous étions en promenade et j'arborais une mine renfrognée, miné que j'étais par mon besoin de câlin fessiers. Passant devant un carré d'orties, elle me lança : " Tiens, ramasses-en une brassée, je crois que tes fesses sont en manque..."
Interloqué par cette idée, je pensai : après tout, pourquoi pas? Mais en chemin, l'idée devint obsédante. Je savais, par expérience que les orties, ça pique, mais, bon...sans plus. Cependant une autre idée se fit jour: voilà que ma femme prenait l'initiative. Cela me parut de plus en plus intéressant. Il me tardait de rentrer chez nous.
Je ne fus pas déçu: à peine arrivés, elle me fit déshabiller entièrement. Elle m'ordonna de m'installer à plat ventre sur le canapé, de mettre mes mains dans mon dos et de ne plus bouger. Elle ficela étroitement mes poignets et mes avant- bras dans mon dos: il m'était maintenant impossible de protéger mes fesses. Puis elle s'assit à côté de moi. Elle sortit une à une les branches d'orties du sac où je les avais moi-même déposées et entreprit de caresser mes petites fesses avec les plantes.
Je ressentis d'abord une douce et fraiche caresse. Puis, très vite, celle-ci se transforma en brûlure qui devint de plus en plus insupportable. Je commençais à gémir, à essayer de me retourner, à me débattre. Elle s'assit sur mes cuisses et continua sa "caresse" en commentant:
" Alors, comment trouves-tu cette fessée silencieuse? A ton goût? Toi qui aimes les sensations que dis-tu de celles-ci?"
Si vous connaissez les orties, vous devez savoir comment elles agissent: au début, on ne sent rien qu'une caresse, puis vient une légère démangeaison, puis la brûlure qui devient vite intolérable. Pour finir, même si la punition est finie, l'effet de ces satanées plantes continue à se faire sentir...
Lorsque ma femme eut estimé que la fessée aux orties avait assez duré, elle usa d'une nouveauté à laquelle je ne m'attendais pas. Elle m'annonça:
" Puisque me voilà handicapée, je ne pourrais plus te donner le martinet. Par contre, tous les deux jours, tu devras ramasser une brassée d'orties afin que je te punisse correctement. Enfin, je vais te demander de porter cette couche tout le temps. En effet, je pense, comme toi, que tu es un petit bébé et que tu mérites d'être traité comme tel. Dont acte."
Elle me fit retourner sur le dos, me demanda de soulever les fesses. Elle passa une couche culotte pour adulte sous mon derrière, et me la referma rapidement autour de la taille.
" Voilà mon petit bébé: que dis-tu de cela?"
Humilié! J'étais humilié! La fessée, je voulais bien, et même j'étais demandeur. Etre attaché me plaisait aussi: j'aimais me sentir à la merci de ma "dominatrice". Mais porter des couches, cela je ne l'avais même pas envisagé. Le plus fort, c'est que ma femme semblait y prendre un vif plaisir.
Je me retrouvais donc, les mains liées, le cul en feu (satanées orties), et porteur d'une couche enveloppante ouatée, et somme toute, confortable. Savez- vous ce qui arrive aux petits qui portent des couches qu'ils n'ont pas la possibilité d'enlever?
Ma femme, dès que je fis mine d'aborder le problème du petit pipi, me plaça dans la coin du salon et m'ordonna de n'en plus bouger. Il faut avouer que la situation ne me déplaisait pas totalement: être immobilisé, au coin, le cul brûlant, en couche-culottes me mettait dans la situation du petit e n f a n t que j'évoquais au début.
Et puis, bon, fallait y passer. J'ai consciencieusement et très abondamment mouillé mes couches. Ma femme m'a bien laissé faire et a attendu que je sois dans une situation où je ne pouvais plus argumenter. Que pouvais-je lui répondre quand j'avais les main liées dans le dos et une couche mouillée au-delà de l'admissible?
"Oui chérie, je serai sage, oui, je me laisserai faire, oui, je mettrai des couches si tu le veux. Bien sûr que tu pourras me punir si je les mouille... etc
Depuis, et je ne me plains pas, je porte tous les jours des couches, elle me fesse très souvent, uniquement avec des orties et jusqu'à sa guérison, et je me suis remis à sucer mon pouce...
Michel
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